Félicitations. On le trouve où, ce bel ouvrage ?

Merci !
Distribution en France via le Comptoir des indépendants, dès que les caisses auront franchi l’Atlantique.
Ou, plus simplement, directement chez l’éditeur :
http://tinyurl.com/yk5tkov

Il faudrait dire à votre éditeur de mettre son site à jour, parce qu’en cliquant sur votre nom, on a droit à un 404 Not Found qui fait désordre. Et votre livre n’est pas au catalogue…

Diantre, quelle époque ! Tout va trop vite sur ces bleugues et autres diableries internautiques. Rassurez-vous, gens de peu de temps, on y vient à ce beau livre, à ce catalogue virtuel : laissez-moi essuyer l’encre sur mes mains et je suis à vous au rayon des immatériaux. Je vous conseille d’ailleurs, en attendant les réparations au grand portique, d’y pénétrer par la porte du jardin : http://www.oiedecravan.com/indexfranc1.html

Vos justifications ne valent pas tripette… ce qui ne m’a pas empêché de commander le livre (sans même savoir de quoi il retourne, à vrai dire). Et hop ! comme il est dit ci-dessous.

Damned! Quelle publicité, et quel fort joli livre! Voilà un cadeau de Noël tout trouvé.

Adoré F.: merci de cette commande les yeux grand fermés. J’espère que vous ne le regretterez pas. Mais où est passé le flegme légendaire du dandy?

AP : quel à propos publicitaire ! Et quel courage d’avoir tapé ceci à un doigt!

Je vais sagement et patiemment attendre de le trouver dans une bonne librairie. Quoi ?

Bisous de toutes sortes ! ! !

Ils ne disent pas combien de temps ça met à traverser l’Atlantique, sept histoires. J’espère qu’elles resteront solidaires et arriveront ensemble l’année prochaine.

Bon réveillon mosan.

Moi qui ai pour habitude de lire plusieurs livres à la fois, j’ai fait une exception pour La Nuit sans fin : j’en ai lu les sept nouvelles d’une traite, avec une sorte de fébrilité haletante; cela faisait longtemps qu’une œuvre de pure fiction ne m’avait captivé à ce point. Et si dans ce recueil je dois exprimer une préférence, elle ira au Trou du souffleur, qui nous rappelle que l’onde de choc de la poésie produit les plus beaux séismes.