En vacances dans le Bourbonnais, D.A. m’envoie une carte postale :
Ah ! Vivement un val ombreux
Afin qu’y reposer je puisse
Mon pauvre séant douloureux
Car à vélo le plus scabreux
Ce n’est ni le rein ni la cuisse
Mais ce qui est entre les deux…
À quoi je réponds tout à trac :
Qu’au vélo, désormais, ton fondement meurtri
Préfère le cheval : à cheval, les culs rient !
Mercredi 16 août 2006 | Les loisirs de la poste |
Pas de commentaire
Laisser un commentaire