il restera une clairière vide
un corps étendu dans le coin
gauche à l’orée du bois
sans vie qui rayonne
une fine lumière rosée
sur le corps de la morte prendra
toutce sera la morte rêvée
la morte en moi
la descendanteDiane Régimbald, L’insensée rayonne.
Le Noroît/L’Arbre à paroles, 2014.
Jeudi 12 juin 2014 | La poésie ce matin |
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