De Lyon, le 6 septembre 1910, Larbaud écrit à Léon Werth :
Je suis venu ici pour consulter quelques ouvrages à la bibliothèque municipale, qui n’est pas bien fournie à l’article « Belles Lettres » ; et quant aux livres étrangers, il vaut mieux n’en point parler. L’entrée de cette bibliopole ressemble à l’entrée d’un bouge, et l’on est surpris de ne pas entendre, du premier palier, une voix féminine crier : On peut monter !
Valery Larbaud, Lettres d’un retiré. La Table ronde, 1992.
Samedi 17 novembre 2018 | Bibliothèques, Grappilles |
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