Le rayon noir

Ils aiment le polar et ils sont nantais : comment leur résister ? Les aimables animateurs de Fondu au noir invitent chaque mois un bloguiste à parler de ses polars préférés, et c’est avec plaisir que je me suis livré à l’exercice. Ma contribution se trouve ici. Pour parcourir l’entièreté de la rubrique et enrichir sa liste de lectures dans des proportions inquiétantes, c’est ici. Fondu au noir publie également une revue dédiée au genre, l’Indic. Quand on vous disait qu’ils sont fous !


Vendredi 6 novembre 2009 | Rompols |

7 commentaires
Laisser un commentaire

Décidément, cher Thierry, quel régal ! De passer quasi quotidiennement par ici…. et puis c’est tout. Encore que. Faudra que je passe dans ta rue, un de ces quatre; avec une petite bouteille ou l’autre. Et te saluer de visu et de parlu…
Grosses amitiés, bordel de cul de moi !

Commentaire par Jean-Pierre L. Collignon 11.07.09 @ 1:23

Ça m’a fait plaisir que vous parliez de Jean-François Vilar. J’étais un grand fan. J’avais même eu l’occasion de le publier du temps, fort lointain, où j’animais une revue aussi confidentielle qu’éphémère… Il nous avait écrit une longue nouvelle - en échange d’un magnum de Jack Daniel’s, évidemment, que nous avions sérieusement esquinté en l’apportant chez lui, boulevard des Filles-du-Calvaire. Je sais qu’il a eu d’assez graves problèmes de santé.

Commentaire par AdoréFloupette 11.07.09 @ 1:42

Jean-Pierre : tâchons de remédier bientôt à cette longue intermittence !

Adoré Floupette : nous sommes décidément nombreux à aimer Vilar, des deux côtés de l’Atlantique. Je finirai par croire que nous formons une société secrète qui s’ignore. Quel est le titre de la revue que vous animiez ? Cela m’intéresse, évidemment.

Commentaire par th 11.07.09 @ 2:21

Content de voir le formidable Sylvia d’Howard Fast que j’ai lu tout à fait par un hasard de brocante aussi il y a plusieurs années, et qui m’avait suffisamment bouleversé pour que je cherche — en vain — d’autres bouquins du bonhomme.

Commentaire par jyl 11.07.09 @ 9:32

Il faut chercher aussi sous le nom d’E.V. Cunningham, pseudo adopté par Fast pour cause de mise sur liste noire au moment de la chasse aux sorcières : plusieurs titres dans la Série noire et ailleurs.
C’est sous ce pseudo que parut à l’origine Sylvia, premier d’une série de douze romans ayant pour titre un prénom féminin (Alice, Millie, Sally, Cynthia, etc.). Plusieurs ont été réédités chez Néo dans les années 1970. Il me faut avouer que je ne les ai pas lus, et pas davantage son Spartacus qui a inspiré le film de Kubrick, ni son livre de SF qu’on dit excellent, Au seuil du futur (Marabout), qui m’attend depuis des années dans ma bibliothèque.
Le seul autre polar de Fast que j’ai lu, c’est l’Ange déchu, que j’avais trouvé bien, mais qui n’a pas la magie de Sylvia.

Commentaire par th 11.08.09 @ 12:48

Au sujet de Vilar (j’y reviens), pourquoi parlez-vous des deux côtés de l’Atlantique ? Sinon, pour des nouvelles du bonhomme, il y a eu quelque chose dans le magazine “branché” Double, voilà quelques mois. Une double page intitulé “Récit d’une non rencontre avec un écrivain mystère”… Je ne sais pas ce qui s’y racontait…

Commentaire par AdoréFloupette 11.09.09 @ 12:21

Des deux côtés de l’Atlantique parce que je connais plusieurs Québécois férus de Vilar. C’est d’ailleurs l’un d’entre eux qui m’avait signalé l’existence de ce film, que je me procurerais volontiers si l’on pouvait régler autrement que par chèque.

Commentaire par th 11.09.09 @ 10:46



(requis)

(requis, ne sera pas affiché et restera top secret)