À la page des champs
au-dehors
ou contre le mur de la nuit
j’en reviens toujours
à ces voix endormies
au fond de nous
et que l’encre contientcomme un feu sous la neige.
Christophe Mahy, la Flamme du seul.
L’Herbe qui tremble, 2014.
dimanche 31 août 2014 | La poésie ce matin |
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