LE JAZZ À LA CAMPAGNE
Il n’y a rien à mettre sous ce titre, sauf peut-être les plus beaux soirs d’été, la peur et le fruit, les heures blanches de décembre. Et Coltrane dans les terres, qui les effleure et les aggrave. Ce n’est qu’ici que la ville est réelle.
Pierre Peuchmaurd, Émail du monde. Atelier de l’agneau, 2000.
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Les Américains déclinent leur nom de famille dès le premier contact. D’où cette brève de bar (j’étais à celui du Birdland - une pensée pour Charlie Parker - avec mon Hasselblad au cou), un musicien s’approche :
- Nice camera.
- Hasselblad.
- John Coltrane.
Corneille Hannoset, Voyages chroniques. Éditions Tandem, « Alentours », 1997.
photo : Chuck Stewart
Lundi 24 septembre 2007 | Grappilles |
Un commentaire
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C’est marrant, TSF fait toute une semaine entière sur Coltrane & son Love Supreme…
Commentaire par Lazare 09.26.07 @ 10:37