L’art du contraste. Debout dans l’autobus 4, un ado de notre temps, blouson noir en fibre synthétique, baskets flashantes argentées et téléphone portable du dernier cri en main, tient dans l’autre Pitié pour les femmes d’Henry de Montherlant, dans une vieille édition du Livre de poche.
Lundi 19 janvier 2009 | Ce qu'ils lisent |
2 commentaires
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Ou bien deux profs ont eu, à 6000 km de distance, la même idée baroque de l’inscrire à leur programme. Ou bien Montherlant est à nouveau hype et nous n’en savions rien ?
Commentaire par th 01.27.09 @ 2:52
Curieux, ici à la librairie, cette semaine, un cousin de cet ado, dans ne version à peine plus âgée du type “j’ai pas fini de me trouver une identité mais je veux qu’on me prenne au sérieux”, est aussi venu acheter un exemplaire de “Pitié pour les femmes”. Retour de vibe pour Montherlant?
Commentaire par antoine p. 01.26.09 @ 5:13