Chambres


Hôtel Campanile, à Saint-Quentin en Yvelines, ville nouvelle dont l’architecture
pourrait être qualifiée de stalinienne post-moderne.



Mardi 31 mars 2009 | Chambres |

4 commentaires
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c’est ma ville, la première fois que nous y sommes arrivés, j’ai cru à un décor de SF, à l’usure, c’est “spécial”, et pas forcément fonctionnel à l’usage, mais nous y sommes pourtant bien.

Commentaire par wictoria 04.26.09 @ 9:04

Ça alors, nous nous sommes peut-être croisés.
C’est un fait qu’en débouchant place Pompidou, on a l’impression de se retrouver en pleine anticipation orwellienne ; ça fait un choc.

Commentaire par th 04.26.09 @ 3:11

C’est “beau”, hein ? J’y ai passé deux interminables années d’errance universitaire, alors que j’étudiais littérature & civilisation anglaises. À l’époque (1999-2001), la fac n’était constituée que d’un bâtiment de salles de cours, d’amphis et d’une minuscule salle de lecture. Donc une fois les cours finis, on traînait dans la ville nouvelle (super…).
Par contre, la médiathèque de cette ville propose un catalogue de livres et de VHS assez impressionnants. J’ai pu y découvrir pas mal de films rares en VHS. Depuis, je suppose que la collection DVD s’est bien enrichie.
Sinon, as tu fait un agréable séjour dans cette “belle” ville ?

Commentaire par Sylvain/Kaonashi 05.06.09 @ 12:11

Décidément, tout le monde a vécu à Saint-Quentin.
Et, oui, séjour agréable de trente-six heures. Côté boulot, accueil très amical. Dimanche matin, balade dans les rues absolument désertes, à l’exception d’un couple. Réplique de la femme entendue à la volée : «Francine, elle se fait des cures de riz ; elle ne bouffe que du riz pendant trois semaines.» Sentiment point déplaisant d’avoir été parachuté dans un no man’s land. Déjeuner de sushis. Cinéma : Duplicity, une déception après l’heureuse surprise qu’avait constituée Michael Clayton.

Commentaire par th 05.06.09 @ 6:05



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