Il y a une vingtaine d’années, je me trouvais à Berlin, où les fortunes de l’existence m’avaient conduit. L’Allemagne traversait alors une crise économique, et moi aussi.
Henri Calet, Poussières de la route. Le Dilettante.
Lundi 25 mai 2009 | Grappilles |
2 commentaires
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Moi aussi j’étais à Berlin. J’avais 20 ans et Berlin était la capitale de toutes les possibilités, bouillonnante. J’aime cette ville, en partie pour sa laideur, mais surtout pour ces carrefours (d’autres histoires).
Commentaire par popelina 05.25.09 @ 8:55
Henri Calet ! Je suis justement en train de lire Le tout sur le tout, et ai consacré mon après-midi d’hier à explorer le XIVe arrondissement de Paris - qui a peu changé depuis les années 40, en tout cas le dimanche après-midi.
Commentaire par Bé. 05.25.09 @ 3:17Petite citation pour un lundi : “Nous venons d’avoir trois jours pleins de congé, c’est-à-dire vides.”