Chemins qui ne mènent nulle part

À cinq cents mètres d’intervalle, deux preuves irréfutables des impasses de la religion.


Montréal, boulevard Gouin


Mercredi 21 juillet 2010 | Pérégrinations |

3 commentaires
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Un peu facile, non?
Je vous ai lu plus inspiré…

Commentaire par Natalie 07.22.10 @ 6:21

Moi, au contraire, je trouve l’inspiration divine.

Commentaire par Bernard Camus 07.23.10 @ 7:23

Tous les chemins ne mènent donc plus à Rome?

Commentaire par Pierre Bourassa 07.23.10 @ 5:05



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