Shakespeare en Auvergne

Fou rire du jour.

 

Chekspire, on croirait entendre mourir un Auvergnat.

Alphonse Allais,
cité par un notulier anonyme
d’Histoires littéraires no 43,
juillet-août-septembre 2010.


Samedi 6 novembre 2010 | Grappilles |

5 commentaires
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mmmmmhhhh….bizarre bizarre, je l’aurais plutôt attribuée à Hugo celle-là…ce qui ne la rend pas moins drôle…à vérifier…

Commentaire par nescio 11.08.10 @ 9:41

En cherchant sur Internet, on découvre l’orthographe “Chexpire” et non “Chekspire” pour la citation d’Allais. Et Hugo se voit en effet attribuer la formule suivante : “Shakespeare, Shakespeare, on croirait entendre mourir un Auvergnat”. Alors ?

Commentaire par AdoréFloupette 11.08.10 @ 10:52

Alors, on ne prête qu’aux riches et ma source est de troisième main : le notulier d’HL rapporte ce mot d’après l’ouvrage qu’il recense, une bio de Dumas par un monsieur Jean-Claude de Decker, lequel l’aurait donc improprement attribué à Allais.
C’est la première fois que je rencontrais ce calembour enchanteur, dont il appert à vous lire tous deux qu’il est en fait connu comme le loup blanc. De sorte que ce billet est encore plus inutile que les autres.

Commentaire par th 11.09.10 @ 12:10

Perso, j’en ignorais tout - je l’avais peut-être croisé, mais oublié. Donc, cachez-moi ce “ce billet est encore plus inutile que les autres”, que je ne saurais voir !

Commentaire par AdoréFloupette 11.09.10 @ 11:05

Voir, dans “Portée de chats”, le dessin de Siné : chat-kespeare.

Commentaire par Raminagrobis 11.09.10 @ 11:17



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