Cinquante centimes pièce à la brocante. Comme beaucoup de bibliomanes (voir ici et là), j’ai conservé un goût très vif des 10/18 des années 1970, dans lesquels j’ai découvert Stevenson, Dickens, Darien, Huysmans, Schwob, Tinan, Lorrain, Mirbeau, Bataille et tant d’autres. C’est dans cette édition que j’ai lu Boris Vian pour la première fois. Je ne me vois pas le relire dans la Pléiade.
Vendredi 11 mars 2011 | Le monde du livre, À la brocante |
3 commentaires
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J’avais trouvé récemment Trouble dans les Andains, et je n’ai pas pu le finir : c’est épuisant de n’importe quoi !
Commentaire par AdoréFloupette 03.12.11 @ 2:46Pas lu. Son tout premier livre, qu’il oublia dans un tiroir et qui ne parut qu’après sa mort. Il devait bien y avoir une raison.
Commentaire par th 03.12.11 @ 5:11
et si on pouvait avoir des extraits ça serait pas mal…moi je propose Boris Vian: et on tuera tous les affreux -textes parlés, chargeables sur http://www.mediafire.com/?ylzmynaxjdm
bien à vous et une tite visite sur mon blog artistique, toujours appréciée…
Commentaire par rene chabriere 03.12.11 @ 2:16