On est évidemment très ému d’avoir en main ces livres qui témoignent d’un passage de courant (il y a, oui, de l’électricité dans l’air) entre deux hommes qu’on admire et qu’on aime — et ça n’a rien à voir, pour cette fois, avec du fétichisme puéril de collectionneur.
3 commentaires
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Chez Mandiargues comme chez Pierre Peuchmaurd, les mots sont des cœurs qui palpitent, des courlis qui passent, des bêtes rousses qui enflamment la forêt. Voilà pourquoi les yeux secs ne savent pas les lire, ne les lisent pas.
Commentaire par Joël Gayraud 02.02.12 @ 12:20À AMB : étonnant, le nombre de personnes qui sont passés par cette librairie (BC aussi, en sortant du même cinéma que moi). C’était triste d’y voir tous ces livres ayant appartenu à Mandiargues, et ça m’aurait fait trop mal au coeur d’y laisser ces deux-là.
Commentaire par th 02.02.12 @ 1:08
Je suis heureuse que ce soit vous !
Commentaire par beeckman 01.30.12 @ 8:17J’ai croisé ces livres rue des Écoles et j’ai préféré leur laisser vivre leur vie.
AMB