rue Waverly (Montréal) encore et toujours, mai-juin 2009
La présence amicale du chat Le Charbonneur, les réveils triomphaux au son de John Coltrane ou d’un disque entêtant de Bonnie « Prince » Billy, The Letting Go, des livres rares traînant dans tous les coins : aucun doute, nous sommes de retour rue Waverly, où nous aurons vécu en direct les affres et les transes de la fabrication du Bathyscaphe n° 4, rêvé sur les superbes collages d’Alan Glass, surréaliste canadien établi de longue date au Mexique, frémi en découvrant les objets médusants d’Alexandre Fatta (reproduits dans une plaquette intitulée l’Œil liquide), et picoré dans l’excellente revue Stop Smiling : copieux numéro consacré au jazz, long entretien avec le regretté J.G. Ballard, etc.
2 commentaires
Laisser un commentaire
La maison familiale ?
Commentaire par tatum 09.02.09 @ 1:26